En parodiant Sully, cela pourrait presque tenir lieu de devise hivernale.

Lorsque après des heures de dur labeur dans la plaine campuséenne son estomac lui rappelle qu’il est temps de goûter, le vaillant jardinier s’essuie le front et contemple le travail bien fait. Puis il s’en va ranger ses outils subventionnés dans son cabanon par ses camarades récupéré.

Voyant que le feu est allumé et la table dressée, garnie de gâteaux et de boissons chaudes, il se presse autour de la brouette fumante et pose délicatement son fondement sur le canapalette maison. Il  jette parfois un regard dubitatif sur celui qui a préféré Michel Drucker aux vers de terre et qui ne se pointe qu’à l’heure du thé. Mais comme le jardinier aboie plus qu’il ne mord, et qu’il croit encore naïvement aux vertus pédagogiques de la critique, il offre quand même l’hospitalité au mal élevé.

Le feu crépite, la nuit tombe, les rois sont tirés et ses habits ont l’odeur de la fumée. Que le jardinier est bien avec ses copains !

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