Il n’y a pas si longtemps, le potager était à la mode basque…
A défaut de tir à la corde, de Lasto altxatzea, d’Harri altxatzea ou encore de Lokotxa (ça, on pourrait peut être le tenter un jour), les aociens se sont essayés au tissage de piments d’Espelette (d’origine campus pour le coup).
Crus, cuits, séchés et prochainement en poudre, c’est la première année que le piment s’installe sur nos buttes. Le résultat est encourageant ; la production abondante et les couleurs éclatantes. Ne manquent que les fèves de cacao pour fabriquer la Chocotegia !